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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 21:41

 


A la croisée de la compétitivité mondiale, l‘évolution du secteur de la Mode au Maroc ne fait que evoluer.

La haute couture marocaine est bien vivante et ne se limite pas au traditionnel caftan. Voilà ce que cherche à prouver imane smires "Caftan la Comtesse" sur son site www.caftanlacomtesse.ma

 

Pour preuve particulièrement réussie, les créations de Imane smires nous suggèrent une beauté sereine : Couleurs pastels  en petite touche sur fond de mousseline, organza de soie, velours et satin se dessinent avec fluidité. La créatrice opte pour la simplicié pour souligner avec subtilité ses lignes. Des modèles à effets de transparence se portent sur des robes bustiers.

 

Raffinées, boostées à coups de broderies, ses lignes gardent toute l’élégance des coupes traditionnelles, tout en flirtant avec une libre désinvolture. Les finitions sont fines et discrètes.

 

Tout le travail est fait main perlage, peinture sur soie, sfifa, soua9a : motifs papillons, coquelicots et autres fleurs rompent avec la monochromie voulue de la styliste.

 

Une collection à l’esprit dunamique et pratique pour les femmes actives et modernes.

 

Pureté à l’honneur ! Imane smires ne s’égare pas dans des détails superflus et préfère la sobriété.

 

Très subtile dans son approche de la couture marocaine, la créatrice nous fait visiter son univers : pureté, féminité, dyamisme et tradition oeuvrent pour un caftan bien à elle !

 


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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 15:58
Amatrice de couture et passionnée par l’artisanat et la haute couture marocaine,  j’aime le mélange des influences. Je vous propose donc à travers ce blog mes idées couture et mes inspirations.
 
J’ai été très inspirée par les blogueuses créatives et douées, c'est ainsi que j'ai decidé de lancer mon propre blog sur les créations marocaine : haute couture, caftans, djellabas, gandoura, histoire de la couture marocaine ...
J’espère que vous apprécierez la visite, et si vous avez des questions, n’hésitez pas à me contacter sur : imanesmires@caftanlacomtesse.ma ou visitez mon site www.caftanlacomtesse.ma

 



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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 05:27
L’origine de la broderie remonterait à l’antiquité : des empruntes de tissus brodés ont été retrouvées sur de la terre datée entre 8200 et 7500 av. JC. Des textes anciens rapportent aussi la richesse des étoffes brodées du Proche Orient. Avec les conquêtes arabes, l’art de la broderie s’exporte et prend son véritable essor sous la dynastie des Ayyoubides (1171 – 1250). Jusqu'alors réservée à l'élite, la broderie rentre dans tous les foyers avec l’expansion ottomane en Méditerranée au XVIe siècle, et devient l’apanage des femmes. Les fils de soie, d’or ou d’argent sur des tissus en coton ou en lin se révèlent un art populaire. La broderie est devenue un moyen d’exprimer sa personnalité, de conserver sa culture.



Capture-d-ecran-2012-08-20-a-04.36.34.png 

 

Le Maroc a toujours eu un énorme pouvoir d'attraction sur ses visiteurs : le paysage, les coutumes, la musique et, surtout, l'artisanat, dont la broderie est une des techniques la plus traditionnelle.


 

Ainsi au maroc la broderie est un art traditionnel ancré dans la culture populaire marocaine. Un art aux dimensions économiques, sociales et culturelles multiples. C'est que la broderie est aussi un prétexte pour tisser des liens, des amitiés, voir des complicités entre des femmes et jeunes filles solitaires qui y trouvent un moyen de s'en sortir et d'améliorer leur situation.

 

Si la broderie était considérée autrefois une base incontournable de l'éducation des fille des riches, beaucoup de filles la pratiquent aujourd'hui faute de pouvoir suivre ou poursuivre leurs études à l'école. Elles s'engagent dans ce métier pour gagner leur pain.

 

Les traditions d'autrefois ordonnaient que les jeunes filles ornaient elles-mêmes leurs robes de mariage, marquées par des signes propres et des traces propres à chaque culture et à chaque identité. Aujourd'hui, la jeune fille marocaine orne ses habits remplissant le vide de tissu avec mille et une croix (Ghorza). Les distances sont soigneusement calculées, puisque c'est un art qui refuse toute erreur : un travail minutieux, axé sur la précision. L'oeil veillant arrange les couleurs. Cet art est transmis de mère en fille. Chacune garde les secrets de l'art comme elle garde l'héritage des ancêtres, dans des tiroirs. La valeur de l'oeuvre est associée à la précision et le savoir-faire de l'artiste.

Elle dessine des croquis qui assurent l'errance : c'est le jeu du fil, et brode des formes et des couleurs, elle utilise des couleurs vives : le rouge et le noir, le vert et le jaune. Le dialogue de l'oeil et de l'aiguille fait surgir les secrets de l'âme. Elle brode ses propres histoires à l'aide des chiffres et des symboles.

La peinture ne représente plus les seules possibilités de la modernité, la broderie est une expression culturelle profonde. Bien de désirs naissent sur le blanc du tissu : celle-ci brode un lion, l'autre illustre à travers le cadre en bois une gazelle. Elle brode toutes sortes d'habits (djellaba, voile, robe), sans oublier les pièces d'ameublement (les nappes et napperons et les paravents).

 

La broderie est, sans doute, une des caractéristiques marquantes de l'artisanat marocain, même si peu diffusée aujourd'hui. Cependant, chaque ville possède sa technique, et le gouvernement actuel, par le biais du Ministère de l'Artisanat, a créé des écoles pour enseigner cet art aux jeunes filles. Les traits caractéristiques de chaque ville sont respectées mais la broderie est aujourd'hui remise à l'ordre du jour, dans des créations plus contemporaines, tout en respectant les traditions.

L'origine de la broderie au Maroc est très ancienne, et il est encore difficile, aujourd'hui, de déterminer à quelle époque celui-ci fut employée pour la première fois. Au début, cet art était utilisé surtout pour orner le livre coranique ottoman, au XIIème siècle, pendant la dynastie des Almohades (1130 - 1258). C'est sous le règne de Yacoub el Mansour (1184 - 1199) que la broderie sera enfin considérée un art et utilisée plus largement sur des vêtements et pièces de décoration. Une école fut mêe créée à Marrakech pour assurer les besoins du Palais et des hauts fonctionnaires.

La broderie continua à être largement utilisée sous la dynastie Mérinide (1258 - 1554), principalement sous le règne de Abou El Hassan (1331 - 1351). C'est cependant le règne des Alaouites, qui débuta en 1664 et dont fait partie l'actuel roi, Mohamed VI, que la broderie pris un vrai essor, et chaque ville trouva ses propres caractéristiques. Ainsi, Fès, Meknès, Salé, Rabat, Tétouan, Azemmour et Marrakech, chacune créa sa propre "école" et la broderie pris vraiment part de la vie de la communauté, utilisée largement encore aujourd'hui surtout sur les costumes destinés aux cérémonies de mariage.

Par ailleurs, le vocabulaire utilisé actuellement dans l'art textile emploie beaucoup de mots d'origine arabe. Par exemple, les sacs de maroquin, ou, quand on parle d'étoffes, lescotonnades, les mousselines, le mohair, le satin, le taffetas, la moire, le damas... Et, quand on parle de couleurs, le jaune safran, le lilas, l'orange et le cramoisi.

Chaque région, voire chaque ville, a son propre style qu'elle a toujours su conserver jalousement : le tapis du Haut Atlas diffère de celui du Haouz par ses dimensions, sa chromie et l'agencement de ses motifs. De même, la broderie de Salé et celle de Rabat ont leurs particularités propres, et pourtant ces deux lieux de production ne sont séparéés que par le fleuve Bou Regreg. La seconde caractéristique est la continuité. En effet, si l'on considère la production actuelle de cuirs ouvragés au Sahara, elle n'est guère différente, en ce qui concerne les matériaux (le support, les pigments), la technique et l'esthétique, de celle qui remonte à plusieurs milliers d'années.

Fondamentalement, le matériel utilisé est le même au nord du Maroc comme à son extrême sud, à l'est comme à l'ouest. C'est la broderie qui y figure qui offre à l'observateur, la touche de chaque région, et son cachet propre. Tout se passe comme si chaque région du pays tient à exhiber fièrement son apport particulier, à mettre en valeur le talent et le doigté de ses femmes. Chaque région souhaite, par son ancrage local, frapper de son sceau, cette broderie nationale, qui se trouve être en fin de compte, une oeuvre commune.

La broderie au Maroc n'est rien d'autre que cet usage infini de savants décors qui entourent les personnes de la naissance jusqu'à la mort. Sur le voile protecteur recouvrant le berceau du nouveau-né, sur les pièces d'ameublement, les coussins recouverts de soie ou de brocarts savamment éparpillés au-dessus d'un divan ou à même le sol, sur le voile de la mariée, sur les nappes et napperons, sur les grands rideaux suspendus aux portes des maisons, sur le catafalque qui recouvrira le corps jusqu'au bout de l'éternité.

Comme la géographie du pays qui le fait vivre depuis si longtemps, cet art ignore l'uniformité. A l'appréhender dans ses infinies facettes, dans ses étonnantes diversités, il nous surprend toujours, nous interpelle et entraîne tour à tour à Fès la séculaire, à Rabat la phénicienne, à Tétouan l'andalouse, à Meknès la berbère ou à Oujda l'orientale. De coton, de lin ou de mousseline blanche, les coussins et housses "rbatis", à l'image de ses jardins fleuris, ne sont que polychromie, luxuriance et gaieté.

Au Maroc, la broderie est réservée aux femmes qui travaillent sur du coton, du lin, de la soie ou de l'étamine de laine, mais aussi sur de la popeline et même sur du nylon. Elles travaillent par petits groupes de femmes et filles d'artisans ou de petits commerçants souvent apparentés. Elles immobilisent la partie qu'elles sont en train de broder dans des cadres en bois vissés.

Salé

A Salé (situé à quelque kilomètres de Rabat), avec la broderie "de Rabat", on travaille toujours la somptueuse broderie "de Salé" au point de croix, serré, couvrant de très grandes surfaces. Les brodeuses exécutent au point de croix toutes sortes de nappes, napperons, services de table, oreillers, couvre-lits, draps, chemises, robes de mariées, robes de caftans... avec des motifs géométriques d'inspiration berbère, ou copiés de modèles étrangers, proches du travail traditionnel.

Beaucoup vont à l'école de couture de Rabat apprendre la broderie à la machine. Le résultat est beaucoup moins raffiné, mais fait apparaître de nouveaux motifs : des bouquets, des oiseaux, des papillons... Les coopératives de Rabat et de Salé encouragent les jeunes filles à apprendre ce métier pour leur permettre de rester chez elles tout en gagnant un peu d'argent.

Fès

La ville de Fès a toujours été connue pour la finesse et la beauté de ces broderies; et le bleu y est omniprésent. Les références des objets décoratifs sont représentées par des illustrations animales : cigognes, oiseaux... et celle d'Azmour arborent les lions comme objets décoratifs.

Les broderies dans d'autres régions du Maroc sont inspirées par les aspects de la nature (arbre, fleurs,..). On trouve aussi dans certaines régions du nord des formes géométriques : triangle, carré, cercle, inspirées certainement par la broderie occidentale (tarz aleuj). Et, selon certains chercheurs, la broderie a été introduite en Andalousie lors de l'existence arabe en Espagne. La légende ajoute que Zeriab Al Maouesseli, l'illustre musicien persan, était le premier descendant arabe qui a transmis cet art à Cordoue.

 

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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 04:57
On s’accorde à reconnaître que le costume féminin marocain citadin est né de la structure vestimentaire préexistant, largement remanipulée par les influences andalouses qui avait culminé à des sommets d’élégance et de préciosité. Il semblerait bien que, en tout ou en partie, ce soit le légendaire personnage Ziryab qui ait déterminé la formation du goût des cours andalouses à travers l’apport des cours abbassides où le luxe rivalisait avec l’exubérance dans des chatoiements merveilleux.
Architecture, jardins, fontaines, marbres, stucs, verreries colorées, bijoux, pierres précieuses, tapis, musique, danse, érudition, faisaient de Bagdad un centre de très haute civilisation qui allait répercuter toutes ses richesses et son inventivité sur le reste du monde musulman pendant des siècles.
Ziryab fuyant Bagdad se réfugia à l’autre pôle musulman de la méditerranée vers le milieu du 9éme siécle à Cordoue, alors capital du roi omeyyade Abderrahman. Il apporta en Andalousie avec lui tout autant le luxe prestigieux de l’Orient ainsi que la musique qui allait devenir cette magnifique musique de cour qui nous charme aujourd’hui, et enfin un art culinaire singulièrement fin et recherché et dont l’aboutissement au 20ème siècle est la cuisine marocaine, l’une des trois cuisines les meilleurs au monde.
Ceci prouve bien que dans le ressac des mouvements de civilisation et de culture, le Maroc a été le creuset dans toutes les nuances et toutes les tendances arrivaient à l’exaspération de leurs potentialités.
 
Sous l’influence de Ziryab donc, les vêtements prirent même une autre signification !
Aux vêtements se saison s’ajoutèrent les vêtements de demi saison qui tous s’enrichirent du luxe et de la complexité du vêtement oriental.
D’autres tissages firent leur apparition, s’inspirant des tissus persans et turcs et des étoffes très légères, des sortes de voilages qui font chanter, en les cachant et en les révélant tout à la fois, la tonalité, la brillance, et l’éclat de soies ou velours, ou brocarts qu’ils recouvraient.
Ceci est très clairement apparent dans la superposition du kaftan et de la dfina ou mansouria qui étaient soit ton sur ton, soit transparence sur le tissu du kaftan, soit opposition complète entre l’un et l’autre vêtement dans le but d’obtenir l’effet de matières et de couleurs le plus remarquable et le plus admirable.
 
Le royaume Nasride de Grenade tomba en 1492 et l’art vestimentaire citadin retrouva d’autres expressions au Maroc où il ne cessa de se modifier et de s’épanouir.
Marmol, né lui-même à Grenade au 16ème siècle
Au 16ème siècle siècle, voyageur et historien espagnol, notait dans son ouvrage «  description Générale de l’Afrique » paru en 1573, des points forts édifiants.
Les femmes pour sortir portaient des caleçons longs et très plissés jusqu’à mi-jambes et se chaussaient d’escarpins en cuir très souples, brodés de soie de couleurs.
Marmol relève la coquetterie des femmes recherchant en effet de séduction par une jambe soulignée plutôt que cachée.
Or, il écrit aussi que la mode de l’époque à Grenade était la même qu’à Fès, et c’est probablement bien plus tard que les haïk firent leur apparition cachant complètement les corps féminin.
 
L’ambassade envoyée par Louis XIV à Moulay Ismaïl permit à Pidou de saint olon de raconter le Maroc de l’époque dans un livre paru en 1694 et portant titre «état présent de l’empire du Maroc » où, entre autres informations, il y a de précieuses notes sur les costumes masculins et féminins ; les femmes portaient des caleçons longs, des chemises à manches longues et à col brodé, une veste ouverte jusqu’à la ceinture, enrichie de manches en mousseline, un jupon court, des chaussons en cuir s’enveloppait déjà dans le haïk de la tête aux pieds quand elles avaient à sortir, et tressaient leur cheveux en deux nattes qu’elles rejetaient derrière leur dos comme les espagnoles et se couvraient la tête de foulards, bandeaux et peut être même de turbans.
L’évolution de 1694 à nos jours, a donc été lente et pas du tout heurtée : il n’y a pas eu de fossés entre les périodes.
Au 18eme siècles, le médecin anglais Lempriere relevait le costume, robe fort ample de drap bordée de fourrure…appelée kaftan ou caftan .., et donc au 18, 19éme siècle et début du 20eme siècle le fond de la garde robe féminine.
Il y aurait fort à dire que le kaftan ou caftan probablement originaire d’Orient, portant en même temps les caractéristiques et détails des vêtements de perse, de Turquie, de l’Asie proximale, transformé sous les abbassides, puis les omeyyades a trouvé au Maroc aux 18 ; 19 et 20 eme siècle son expression la plus parachevée en s’étant au départ conformé aux vêtements longs et drapés qui ont existé de tous temps au Maroc.
 
Le kaftan est un vêtement, au départ, aussi bien masculin que féminin et ce n’est que progressivement qu’il devient définitivement une pièce essentielle du costume féminin.
Il a une histoire qui vaudrait à elle seule d’être longuement écrite, car elle raconterait une infinité de choses de la vie quotidienne, des mœurs et de l’évolution de la société marocaine.
Simplement de l’indépendance à ce jour, il a déjà une longue histoire et une mutation édifiante.
 
Le kaftan est un vêtement qui ne s’exhibait pas à l’extérieur de et pouvait être plus ou moins luxueux en fonction des circonstances où la femme le portait.
C’était également l’habit des petites filles. Le tissu dans lequel il était coupé varié avec les saisons. En hiver de merveilleux draps au grain très serré et au toucher très doux faisaient le plaisir des yeux si l’on imagine l’invraisemblable palette des couleurs utilisées.
C’est un sujet qui passionne et prête sans cesse à la rêverie et aux discussions linguistiques et littéraires que celui de la dénomination des couleurs : véritable poème et enchantement des sons et des résonances.
Quant au début du 20eme siècle les éléments du costume féminin étaient fixés et assez immuables, les changements ne se produisaient plus que dans les couleurs et les tissus.      Capture-d-ecran-2012-08-20-a-03.59.18.png
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15 août 2012 3 15 /08 /août /2012 03:58

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J'adore le vetement marocain ... avec sa touche traditionelle qui donne une originalité incoryable à la tennue ...


Généralement, on retrouve cette touche sur les caftans et jellabas marocaines. Du coup, je me suis dis pourquoi ne pas l’ajouter sur un vêtement de prêt à porter ?


Ça serait un beau mélange de style. Puis la mode, c’est de la créativité avant tout, oublions donc les codes !

Ce modele, je l’ai voulu sur mesure et décontraté au meme temps pour le coté féminin, avec débardeur bordé en khmissa et un pentalon avec sfifa handmade ...


Pour ce modèle, j’ai ajouté de la broderie sur le devant du debardeur pour accentuer la « touche marocaine». Cela m’a pris beaucoup de temps de reflexion sur la forme mais une grande satisfaction à la fin.

J’aime beaucoup porter ce modèle lors d'une visite d'amis ou de familles pendant le ramadan, ou meme pour recevoir du monde à la maison pour une soirée 100% marocaine .

Qu’en pensez-vous ?

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9 août 2012 4 09 /08 /août /2012 17:29

 

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Trouvez le caftan idéal n'est pas facile et encore faut-il savoir quelle forme choisir selon votre morphologie ...

 

 

www.caftanlacomtesse.ma

 

 

Pour vous aider dans le choix de votre robe de soirée ou de votre caftan, suivez nos quelques trucs et astuces.

 

Un caftan en fonction de votre peau


Que vous ayez la peau mate, blanche ou carotte, toutes les couleurs de caftan ne vous iront pas. 

> Les peaux foncées : osez les couleurs de robes de soirée les plus claires (le blanc, jaune, le vert ou le rose). Le marron et le look total black sont à bannir : ils noieraient votre silhouette. 

> Les peaux claires :  à l'inverse, éviter les robes de soirée blanches et le jaunes sur une peau porcelaine. Les autres couleurs peuvent vous aller. Votre couleur phare, surtout si vous êtes brune est le rouge. C'est glamour, tendance et chic.

Un caftan en fonction de votre morphologie


> Vous avez une forte poinrine: privilégiez les caftans à décolleté carré. Pour dégager vos bras et mettre vos épaules en valeur, choisissez des manches courtes, ou bouffantes au niveau des épaules. Des bretelles très fines affineront le buste.

> Vous avez du ventre : le satin, la soie et les robes de soirée cintrées à la taille sont à bannir : elles font ressortir le moindre petit bidon. Préférez plutôt un caftan droit ou taille empire. 


 > Vous n'avez pas de taille : la ligne droite est idéale. Misez sur des petites bretelles originales, spaghetti ou perlées afin d'attirer le regard vers le buste. La taille empire vous ira aussi parfaitement, mais il faudra qu'elle descende jusqu'à la cheville.

> Vous avez des fesses : privilégiez une robe de soirée coupe droite ou taille empire, de couleur unie. Les imprimés sont à fuir (surtout dans le bas) : ils attirent l’œil ! Un décolleté dans le dos ultra profond est à fuir : il élargit les fesses. 

Et pour un caftan soirée sexy ?

Pour les décolletés, les règles est simple : plus la poitrine est petite plus le décolleté doit être profond, aussi bien devant que derrière.

N’abusez pas des fentes ! La frontière entre « sexy » et « vulgaire » peut être aisément franchie. Si la fente est sur le côté de votre caftan, vous pouvez vous permettre une échancrure entre le genou et le haut de la cuisse (pour les jambes fines) ou au genou (pour les jambes plus fortes). Si la fente est en arrière, optez pour une petite échancrure, sans aller jusqu’au pli arrière du genou. 

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24 juillet 2012 2 24 /07 /juillet /2012 03:28

Capture d’écran 2012-07-24 à 02.22.04

 

Imane, Créative dans l’âme, consacre beaucoup de son temps libre et son énergie à l’élaboration de nouveaux vêtements et  à l'amélioration en performance de son showroom en ligne.

La tâche n’est pas facile vue le temps que qu'elle passe sur chaque modèle, le travail de recherche sur la mode actuelle puis les goûts de chacun sans oublier la demande.

« J’aime ce que je fais, et tant que le plaisir continue à me procurer l’énergie nécessaire pour réaliser tous mes modèles, je ne verrai jamais ce que je fais comme un travail mais plus comme une passion ou un rêve qui prend forme petit à petit. »

 

Parmi ses articles fétiches de cette saison, on cite le fameux Col Claudine... un accessoire indispensable qui rajoute une touche féerique à ses tenues, ce petit col rond, qui nous rappelle de nos jours à l’école primaire, eh ben il est de retour ...

 

Capture d’écran 2012-07-24 à 02.48.56

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23 juillet 2012 1 23 /07 /juillet /2012 14:37

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Ramadan en plein été, quoi de mieux qu’une gandoura en soie, fluide et légère, pour ne pas subir cette chaleur oppressante.

 

Pour le choix de la couleur, les tons pastels sont en grande forme, bleu vert ou encore corail, vous avez l’embarras du choix.

 

Vous pouvez également opter pour les indémodables imprimés.

 

Decouvez nos créations de gandouras sur www.caftanlacomtesse.ma

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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 19:02

Le terme DJELLABA vient du dialect arabe جلّابة (djelabah) qui vient du terme arabe littéraire gallaba ou gelibia, en rapport avec l’habit que portaient les gallab (marchands d’esclaves). La DJELLABA est aujourd’hui une longue robe qui se porte jusqu’aux pieds avec une longue capuche. Elle existe au maghreb et au Moyen-Orient .

Assez similaire du CAFTAN ottoman, la djellaba avait été conçu pour la gente masculine pour son aisance et son confort pour les différents travaux que les hommes accomplissaient. Avec l’arrivée de l’Islam, la djellaba, qui était un habit ample et respectable, a été démocratisé aux hommes et aux femmes, pour répondre aux principes du Coran.

Elle peut etre est conçue selon différentes matières pour répondre aux besoins de la météo.

 

 

Grâce à l’héritage andaloux apporté au Maroc, les sfifas et les broderies sont ajoutées sur les manches des DJELLABAS .

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15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 19:51
Imaginez un t-shirt personalisé à la marocaine ..  un t-shirt orné de sfifa, de perles et toute autre matière qui caractérise le caftan marocain ...
Caftan la comtesse lance sa collection "relaxe by caftan la comtesse" ... de vetements en coton remodelés et transformés en objets d'exeption.
Chaque pièce de cette collection et unique et "HANDMADE" .
Le modèles sont faits dans le style traditionnel marocain avec des matières nobles tel que le coton, la soie, des petits pompon fait main  ... 

 

Capture-d-ecran-2012-07-15-a-01.31.05.pngCapture-d-ecran-2012-07-14-a-18.43.58.png

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Présentation

  • : Le blog de caftan la comtesse
  • : l'origine de ces belles créations une histoire éblouissante… Imane est héritière culturelle d’une famille de couturiers. Son grand père était tailleur, déjà à l’époque il avait créé sa propre marque de costumes pour homme avec ses propres étiquettes qu’il posait sur ses créations. Sa mère quant à elle, confectionnait de jolies robes pour ses filles et pour toutes les occasions : « Avec mes sœurs, on a eu droit à tout… les petites robes british inspirées des
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